Un homme dénommé John Deere a lancé une société avec une charrue révolutionnaire conçue à partir d’une lame de scierie brisée. Ce modeste démarrage continue depuis près de deux siècles afin d’aider l’Amérique, et le reste du monde, à cultiver.
Un catalogue de 1883 présentait toute une scierie, une vue familière dans de nombreuses exploitations agricoles familiales autonomes de l’époque.
Le forgeron Jonas Östberg a ouvert un atelier à Alfta, en Suède, devenu par la suite Ösa, c.-à-d. Östbergs Smidesfabrik Alfta, M&G Östberg. Cet atelier s’est ensuite développé en Timberjack.
Le modèle D de tracteurs John Deere a été mis en service en tant que treuils de débusquage. Les roues et le siège ont été retirés et des cales en bois ont été fixées à l’avant, afin de permettre au treuil d’être alimenté à partir de la machine stationnaire.
Timberland est fondée à Woodstock, en Ontario, et commence la production de machines pour l’industrie d’exploitation forestière.
John Deere lance la machine qui prendra d’assaut le monde de l’exploitation forestière : le véhicule à chenilles MC. Le MC a très bien été accueilli par les ouvriers forestiers en raison de ses performances sur des terrains difficiles, comme les pentes abruptes et le sol meuble.
John Deere lance le tracteur à chenilles 440 : le précurseur du passage aux machines toutes jaunes effectué l’année suivante. Le modèle 440 est également doté d’une lame hydraulique montée à l’intérieur, facile à manœuvrer.
Timberland a sorti la débusqueuse de la série 200 de Timberjack. Disponible avec un moteur à essence Ford 61 HP, la première débusqueuse articulée à porter le nom Timberjack avait un prix de détail proposé de 8 925 $.
La débusqueuse 440 de John Deere a changé la donne lors de sa sortie en 1965. Avant sa sortie sur le marché, les débusqueuses à roues n’étaient à peine plus qu’un moteur dans un bâti. La 440 a ajouté du confort pour l’opérateur afin d’augmenter la sécurité et la productivité.
John Deere dévoile l’abatteuse-façonneuse 743 qui allie la vitesse des pneus en caoutchouc à la portée d’une flèche, permettant aux opérateurs de récolter deux arbres par minute, préparant ainsi la voie aux abatteuses-façonneuses modernes d’aujourd'hui.
Rauma-Repola Forest Machine Group a été établi en Finlande sous le nom de Rauma-Repola Oy Lokomo-industries. Forest Machine Group négociait l’achat des opérations de machinerie forestière de Timberjack, Valmet et Kockums.
Le Rauma-Repola Forest Machine Group était en négociation avec Caterpillar pour obtenir une collaboration et a acquis 60 % de l’entreprise française Cemet Agrip, puis a conclu un accord de coopération avec Timberjack.
Rauma-Repola a acheté l’intégralité de Timberjack.
Le groupe a été renommé FMG Timberjack.
Rauma-Repola fusionnait avec la société finlandaise United Paper Mills et FMG Timberjack fut rattaché au groupe Rauma.
FMG Timberjack a été renommé en groupe Timberjack.
Des groupes de représentants, certains composés de clients, d’autres de concessionnaires, ont été formés afin de tenir compte de leurs commentaires dans le processus de conception. Cette méthode de conception centrée sur les utilisateurs était issue d’une autre initiative de John Deere.
John Deere a conclu un partenariat avec Hitachi Construction Machinery Co., Ltd. pour fabriquer des machines d’exploitation forestière spécialement conçues sur la base des excavatrices. Deere-Hitachi Specialty Products (DHSP) est situé à Langley, en Colombie-Britannique.
John Deere a acheté à la fois Timberjack et Waratah. En plus d’apporter une nouvelle technologie inédite et des actifs de recherche et de développement à la marque, cet achat a permis à John Deere d’affirmer sa place de chef de file mondial de la foresterie.
Timberjack Oy a été renommé John Deere Forestry Oy et les nouveaux équipements ont reçu la <br/>marque de commerce John Deere.
John Deere célèbre 50 ans de fabrication de débardeuses avec le lancement des nouvelles machines révolutionnaires de la série L.