Toni Arnold-McFarland dirige nos efforts pour diversifier les sciences, la technologie, l'ingénierie et les mathématiques (STIM)

« Cela me passionne, car nous ne pouvons pas nous permettre de ne pas avoir de diversité dans les STIM », explique Arnold-McFarland

John Deere voulait savoir si sa charrue en acier pouvait pénétrer le sol épais du Midwest.

Portrait de Toni Arnold-McFarland

Orville et Wilbur Wright voulaient savoir si les humains étaient capables de voler.

Jonas Salk voulait savoir si son vaccin pouvait enrayer la polio.

Les produits, les services et la technologie qui ont changé des vies, ou les a sauvées, sont nés de la curiosité. Et pour Toni Arnold-McFarland, directrice, de l'avancement de la diversité STIM, la curiosité est la passion derrière son objectif.

« J'ai été attirée par l'ingénierie parce que j'ai toujours été intéressée par la façon dont les choses fonctionnent et j'aime résoudre des problèmes et trouver des solutions qui améliorent la vie et font avancer l'humanité » dit-elle. « Je remercie mes parents d'avoir préconisé l'éducation et de m'avoir incité à poursuivre des études universitaires et professionnelles en tant qu'éléments fondamentaux d'un mode de vie porteur d'espoir. J'aimerais diriger une initiative qui poursuit ce modèle. »

Arnold-McFarland est bien placée pour le faire. Depuis son arrivée chez John Deere en 1998, la diplômée en génie mécanique de North Carolina State University a assumé de nombreux rôles de plus en plus importants avec de plus en plus de responsabilités, de spécialiste en soutien aux produits à ingénieure de fabrication en passant par ingénieure de qualité supérieur.

Aujourd'hui, elle se concentre sur la construction d'un avenir meilleur pour tous, partout, en accélérant la représentation diversifiée en science, technologie, ingénierie et mathématiques (STIM).

La demande pour des rôles STIM a surpassé la réserve de talents dans cette catégorie, il est donc essentiel d'avoir accès à une formation STIM de qualité.

Toni Arnold-McFarland

« Je suis passionnée par cela parce que nous ne pouvons pas nous permettre de ne pas avoir une diversité dans les STIM » dit Arnold-McFarland. « La société doit encourager les gens à aider à résoudre les problèmes complexes du monde d'aujourd'hui. La demande pour des rôles STIM a surpassé la réserve de talents dans cette catégorie, il est donc essentiel d'avoir accès à une formation STIM de qualité.

Arnold-McFarland est la première professionnelle à temps plein chez John Deere qui se consacre uniquement à l'avancement de la diversité dans les disciplines STIM, en particulier lorsqu'il s'agit de l'engagement pré-universitaire, du recrutement et du développement de carrière.

« L’entreprise fait une différence et je suis fière d'aider à diriger nos efforts pour créer un bassin de talents diversifié dans les STIM » mentionne-t-elle. « Nous voulons tirer parti des relations internes et externes existantes avec les organisations STIM telles que la National Society of Black Engineers (NSBE), la Society of Hispanic Professional Engineers (SHPE) et la Society of Women Engineers (SWE), ainsi que JD Inspire Initiative de l'entreprise, pour cultiver les talents des STIM. Nous voulons également centrer les perspectives et les expériences vécues de divers talents afin de stimuler l’innovation. »

Parce que tout le monde mérite d'avoir la chance de rêver, de concevoir et d'offrir de nouvelles façons d'aider la vie à faire son chemin.

« Mon père, Raymond Arnold Jr, était un professeur de technologie automobile et d'arts industriels dans une école secondaire réputée de la Caroline du Sud. Et il a fait partie de la première équipe noire de NASCAR avec le pilote Wendell Scott en 1961 » ajoute Arnold-McFarland. « On leur a refusé la possibilité d'atteindre leur plein potentiel, mais les deux hommes ont quand même encouragé les autres à poursuivre leurs rêves. Je n'ai pas réalisé pleinement l'influence de mon père sur la vie de ses étudiants, dont beaucoup travaillent maintenant dans des professions et des vocations liées aux STIM, jusqu'à ce qu'il nous quitte il y a deux ans.

« Je crois que c'est ma vocation de poursuivre son impact sur la société. Son héritage en vaut la peine. »