LE TERRAIN

UNE PUBLICATION DE JOHN DEERE
Jason Bast, directeur général de NIS Contractors, évalue un chantier à Regina, en Saskatchewan, où travaille, en arrière-plan, une chargeuse à roues 544 de catégorie G.

Jason Bast, directeur général de NIS Contractors, évalue un chantier où travaille, en arrière-plan, une chargeuse à roues 544 de catégorie G de John Deere.

Automne 2022

État d’esprit de croissance

 

Soutenir l’essor de la construction résidentielle dans le sud de la Saskatchewan

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Dans la ville dynamique eten plein essor de Regina, en Saskatchewan, un phénomène naturel unique sous la surface du sol ajoute un élément complexe au développement d’origine humaine au-dessus d’elle. Les habitants l’appellent simplement le « Regina Gumbo », terme qui décrit le terrain glissant et imprévisible sur lequel la ville est construite.

Pour résoudre l’énigme du sol unique de la capitale, il faut retourner plus de 11 000 ans en arrière. Bien avant que les humains habitent dans le sud de la Saskatchewan, une vaste étendue d’eau connue sous le nom de lac glaciaire Regina s’étendait sur une grande partie de la région, récupérant ainsi les écoulements d’eau des glaciers environnants. Le grand lac s’est drainé au fil du temps, laissant derrière lui une vaste étendue de terrain plat ayant une composition chimique qui fait en sorte que le sol prend l’eau et se dilate.

Jason Bast, directeur général de NIS Contractors à Regina, ne connaît que trop bien le « Regina Gumbo ». « La terre est sans aucun doute unique ici », dit-il d’un rire cordial, en enfonçant le bout de ses bottes dans la terre humide. « Il s’agit d’une argile hautement plastique et d’un sol gonflant. Quand il pleut et que la teneur en humidité change, ça peut devenir boueux. »

De telles réalités demeurent des préoccupations importantes pour une entreprise qui fait de l’argent en creusant profondément dans le sol. NIS est spécialisée dans l’installation de systèmes d’aqueduc, d’égout et de collecteurs pluviaux dans le sud de la Saskatchewan, où la majorité de ces travaux ont lieu à Regina. « Nous travaillons à des profondeurs considérables », explique Jason Bast. « L’égout sanitaire peut être installé sur une profondeur d’environ 6 à 7 m (20 à 23 pi). C’est certain qu’un peu de temps et de compétences sont nécessaires, mais nous trouvons toujours le moyen d’y arriver. »

Soutenir la croissance

Avec une histoire qui remonte à 1975, NIS a près d’un demi-siècle à son actif. Or, aucune quantité d’expérience ne peut complètement préparer ses travailleurs pour les coups durs constants que la météo peut vous lancer. Les opérateurs doivent faire preuve de précision et de compétence, et leur équipement doit être assez puissant pour soulever le sol détrempé et suffisamment agile pour éviter de s’enfoncer dans celui-ci. L’efficacité est essentielle, compte tenu de la portée des projets à mener.

Dans la périphérie est de Regina, les équipes de NIS posent les bases d’une nouvelle étape d’un aménagement de lotissements ambitieux qui comprendra près de 170 terrains résidentiels. « Dans quelques années, vous verrez ce produit fini prendre forme », indique fièrement Jason Bast. « Vous verrez des maisons se construire et des gens y vivre. On se sent vraiment bien quand on fait partie intégrante de la construction de notre communauté. »

De différentes façons, ce chantier tentaculaire est un microcosme de ce qui se passe dans la région, qui a connu une augmentation importante de la population au cours des 20 dernières années. « Je dirais que pour environ 70 % des nouveaux lotissements, c’est nous qui avons installé les services publics souterrains », affirme Jason Bast. « Ça a été une excellente occasion de bâtir et de voir cette ville croître. »

Profiter du moment

Peu après le lever du jour un matin de la mi-juin, Joe Theriault est l’un des premiers travailleurs de NIS sur le chantier. Il est opérateur de machines pour NIS depuis trois décennies. Or, le passage de temps n’a pas érodé son amour du travail. Avant de monter dans la cabine de sa chargeuse à roues 544 de catégorie G, Joe Theriault sirote une tasse de café et profite du moment.

« Je ne me pourrais jamais travailler dans un bureau », confie-t-il. « Quand vous arrivez assez tôt le matin, vous entendez les bruits d’oiseaux et vous voyez les lapins courir partout. J’apprécie d’être ici, à l’air frais. »

La nature accessible et la longue carrière chez NIS de Joe Theriault font en sorte que les opérateurs prometteurs l’aiment bien. C’est un rôle qu’il apprécie. « Parfois, les jeunes employés viennent me voir pour me demander des conseils », dit-il. « Ils savent que je suis ici depuis longtemps. »

Ce que Joe Theriault a appris à apprécier au fil des années sont les répercussions de l’équipement John Deere. Il dit que l’équipement l’aide à produire des résultats impres-sionnants, indiquant qu’il est à l’aise de pousser les machines au maximum au besoin. « Elles ne brisent tout simplement pas. Je n’ai aucun problème avec elles. Elles sont fabriquées pour le travail, alors je les fais travailler. »

Ayant plusieurs décennies d’expérience dans le secteur, Joe Theriault de NIS Contractors sait comment faire les choses sur un chantier de construction. Il sait également lorsqu’il a trouvé de l’équipement qui fait l’affaire. Il dit que la nouvelle chargeuse à roues 544 de catégorie G est le genre de bête de somme qui fait bouger les choses.

« Elle se soulève davantage et elle offre également plus de puissance », explique Joe Theriault. « Lorsqu’on la met en première vitesse, avec cette puissance supplémentaire, elle pousse vraiment comparativement aux machines plus anciennes. »

Cette puissance ne se fait cependant pas aux dépens de l’agilité ou de la facilité d’utilisation. « Je peux me déplacer avec elle, car elle est très facile à utiliser », dit Joe Theriault.

Bénéficiant de la combinaison de l’abordabilité et de la productivité, la machine 544 de catégorie G est une solution qui plaît aux propriétaires et aux opérateurs. « Ce n’est pas une grosse machine, mais je vous dis qu’elle remplit sa fonction », dit-il. « Avec la bonne machine, vous pouvez accomplir n’importe quoi. »

 

Sources de fierté

Pour que le travail soit fait comme il se doit, NIS compte sur un grand parc diversifié d’équipement John Deere, y compris des excavatrices, des chargeuses à roues, un bouteur chenillé et une chargeuse-pelleteuse. Tandis que plusieurs machines John Deere travaillent en harmonie autour de lui, Jason Bast s’arrête pour réfléchir sur la voie du succès de NIS. C’est quelque chose que personne ne tient pour acquis. « Le secteur de la construction peut être très instable. Vous voyez certaines entreprises éprouver des difficultés, et certaines font faillite. Quand les temps sont durs, nos gars puisent dans leurs forces. »

L’étroite relation avec John Deere a été une constante. « Notre temps avec John Deere remonte à environ 25 ou 30 ans. Et nous travaillons avec Brandt Tractor, notre concessionnaire, depuis presque aussi longtemps. C’est une relation formidable. L’équipe est toujours là pour offrir de l’assistance, que ce soit pour obtenir des pièces dans les plus brefs délais ou pour venir et entretenir l’équipement »

Dans un secteur d’activité exigeant, en terrain accidenté, une telle relation est essentielle pour s’assurer que NIS continue de fonctionner rondement. « Le temps, c’est de l’argent », mentionne Jason Bast. « Si la production baisse, vous perdez de l’argent en fin de compte. Il est essentiel d’avoir ce soutien. Ça fait partie de qui nous sommes. C’est certain que ça nous donne un coup de pouce. »

Les entrepreneurs de NIS sont desservis par Brandt Tractor Ltd., de Regina, en Saskatchewan.

Dans le sens horaire, à partir du coin supérieur gauche. Une chargeuse à roues 544 de catégorie G de John Deere prépare le sol pour l’installation de conduites d’égout pluvial dans un prochain lotissement. L’opérateur Joe Theriault de NIS Contractors transporte de la terre dans une chargeuse à roues 544 de catégorie G de John Deere sur le chantier. Les empreintes des chenilles dans le sol démontrent l’humidité unique du sol, une condition que les habitants appellent «  Regina Gumbo ». Sur le chantier de Regina, en Saskatchewan, une chargeuse à roues 544 de catégorie G de John Deere charge de la terre dans un camion à benne. Joe Theriault monte dans la cabine d’une chargeuse à roues 544 de catégorie G pour commencer sa journée.

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