LA JETÉE

Une Publication de John Deere
De gauche à droite. À côté d’une abatteuse-façonneuse chenillée 953MH de John Deere se trouvent Allain Santerre, Louis Maher et Adam Williams.

Allain Santerre de Brandt Tractor et Louis Maher, directeur des ventes de la division Foresterie de John Deere, discutent de la technologie de commande intelligente de la flèche sur une abatteuse-façonneuse chenillée 953MH avec Adam Williams d’A.R. Williams Logging.

Été 2022

De la main engagée à l’homme souhaité

 

Adam Williams a trouvé son créneau en commandant une abatteuse-façonneuse chenillée 953MH

L’occasion s’est présentée pour Adam Williams, propriétaire d’A.R. Williams Logging, en 2014. Plus précisément, il a reçu un appel. « Mon ami de chasse m’a appelé pour me dire qu’il avait accepté beaucoup de travail en exploitation forestière dans ma ville natale d’Englehart, en Ontario », se souvient-il. Depuis 2002, Adam Williams travaillait dans le domaine de la construction à six heures d’Ottawa, où il a appris à utiliser de l’équipement lourd. « J’ai d’abord exploité de grandes excavatrices, en réparant des rues au centre-ville ou en travaillant dans des carrières et de nouveaux lotissements », se remémore-t-il. « Je suis ensuite passé aux excavatrices à roues, et quand ils ont vu à quel point j’étais bon, je ne pouvais plus m’en sortir. »

C’est jusqu’à ce jour fatidique où il a reçu l’appel téléphonique. « Je suis revenu à la maison et j’ai acheté une abatteuse-groupeuse de mon ami. C’était du bon travail et près de la maison. J’ai travaillé aussi dur que je l’ai pu et j’ai payé cette abatteuse-groupeuse en six semaines. »

En tête de liste

Adam Williams a commencé à travailler dans le domaine de la construction après le secondaire lorsqu’il a accepté un emploi dans une entreprise locale à Englehart. « En hiver, nous transportions des rondins. C’était la première fois que je faisais quoi que ce soit lié à l’exploitation forestière, et je l’ai vraiment apprécié », raconte-t-il.

Lorsqu’il est retourné à la maison en 2014 et qu’il a acheté sa première abatteuse-groupeuse, Adam Williams avait le vent dans les voiles. Cependant, comme les entrepreneurs généraux avaient souvent leurs propres abatteuses-groupeuses, il était généralement le dernier à être appelé. « J’aurais pu bien gagner ma vie avec l’abatteuse-groupeuse, mais j’étais toujours au bas de la liste. »

En 2017, l’entreprise pour laquelle il travaillait avait désespérément besoin de machines de tronçonnage. « De nombreux abatteurs de la région avaient peur d’exploiter des abatteuses-façonneuses en raison du coût plus élevé des investissements et du manque d’expérience avec elles », se souvient-il.

Adam Williams a fait le saut et a acheté une abatteuse-façonneuse chenillée 903MH de John Deere avec une tête d’abatteuse-façonneuse 623C de Waratah. « Elle est très conviviale, ce qui est l’une des principales raisons pour lesquelles je l’ai choisie. Elle est très fiable, j’ai donc réellement remplacé uniquement les pièces d’usure normales. La tête est également solidement construite. Je n’ai tout simplement pas beaucoup de problèmes avec cette combinaison. »

Sans suffisamment d’abatteuses-façonneuses disponibles, Adams Williams est rapidement devenu un « homme recherché ». Avant longtemps, il était en fonction 24 heures sur 24 et sept jours sur sept. Il a donc embauché un autre opérateur.

 

Outil « indispensable »

Récemment, Adam Williams a fait l’essai d’une abatteuse-façonneuse chenillée 953MH de John Deere avec une tête d’abatteuse-façonneuse 623C de Waratah. Le modèle 953MH est doté de la commande intelligente de la flèche (IBC), que John Deere présente pour la première fois sur les abatteuses-façonneuses chenillées. « L’IBC est absolument ce que vous voulez pour l’abattage à la souche », explique Adam William. « Elle rend les opérations de flèche beaucoup plus précises et efficaces par rapport à nos autres modèles 953MH, qui n’en sont pas équipée. »

L’IBC facilite la manœuvrabilité de la tête d’abatteuse-façonneuse en diminuant les entrées de l’opérateur qui commande la flèche. « Sans l’IBC, il faut contrôler séparément les fonctions de la flèche et du manche », explique Adam Williams. « À l’aide de l’IBC, il suffit de positionner la pointe de la flèche à l’endroit où vous le souhaitez avec un seul levier de commande. Elle rend la chose plus prévisible afin de ne pas surcompenser les mouvements. C’est beaucoup plus fluide et plus facile. Et je ne suis pas autant secoué, alors je me sens moins fatigué à la fin de la journée. »

De plus, l’IBC est facile à apprendre, ce qui la rend idéale pour la formation de nouveaux opérateurs, selon Adam Williams. « On saisit rapidement. Tout vient de façon si naturelle. »

Cette technologie a également permis à son entreprise d’améliorer ses résultats financiers. « L’IBC accélère mon travail. Les temps de cycle ont augmenté par rapport à la 953MH sans l’IBC, alors je suis plus productif. Et j’ai remarqué une économie de carburant tout de suite par rapport à l’autre machine. John Deere a vraiment frappé un coup de circuit avec l’IBC. C’est un incontournable. Je ne pourrais plus m’en passer. J’ai dit à nos vendeurs de Brandt, notre concessionnaire John Deere, de ne commander aucune machine sans IBC. »

« Nous sommes heureux de voir cette technologie arriver sur les machines chenillées », affirme Allain Santerre, directeur des ventes pour l’Ontario et l’est du Canada chez Brandt Tractor. « John Deere possède la technologie sur les machines forestières à roues depuis quelques années maintenant, et la façon dont les opérateurs travaillent a changé. L’IBC est intelligente, de sorte qu’elle facilite la tâche de l’opérateur. »

Allain Santerre et d’autres vendeurs de Brandt ont passé le mot à propos de l’IBC sur les machines chenillées et offrent des démonstrations. « Tous ceux avec qui je parle pensent qu’ils sont meilleurs dans leur travail et moins fatigués à la fin de la journée. Nous voulons que les clients connaissent leurs options. Tout comme nos cartes TimberMatic™ et TimberManager™, l’IBC est un autre élément pour aider nos clients à réussir. »

Allain Santerre confirme que le secteur forestier de l’Ontario est en effervescence, tout comme Adam Williams l’a connu personnellement. « Le marché de la foresterie est très bon ici en ce moment. Il y a une grande demande de bois, et c’est pourquoi on a besoin d’autant de gens pour couper le bois et l’apporter aux scieries. Au cours des deux dernières années, nous avons vendu plus de machines qu’au cours des cinq années précédentes. »

Lorsqu’on lui demande s’il est heureux de sa décision de quitter le secteur de la construction pour devenir abatteur, Adam Williams répond : « Absolument. Les scieries de bois d’œuvre produisent à des niveaux records. Elles sont incapables de garder la cour pleine de bois, et ce n’est pas près de se terminer. »

Malgré un horaire très occupé, Adam Williams préfère la forêt à la ville. « J’ai apprécié les projets d’infrastructure au centre-ville d’Ottawa. J’apprenais quelque chose de nouveau. Mais j’aime plus la forêt. C’est tellement silencieux ici, très paisible. Et j’apprends toujours quelque chose de nouveau ici aussi. »

A.R. Williams Logging est desservi par Brandt Tractor Ltd., de Timmins, en Ontario.

Dans le sens horaire à partir d’en haut à gauche. Une tête d’abatteuse-façonneuse 623C de Waratah fixée à une abatteuse-façonneuse chenillée 953MH de John Deere fait le tronçonnage d’un rondin qu’elle vient d’abattre. Le soleil matinal brille sur une pile de rondins d’une jetée au Canada. Une abatteuse-façonneuse chenillée 953MH avec une tête d’abatteuse-façonneuse 623C façonne un rondin dans la neige au Canada. Adam Williams utilise la technologie de commande intelligente de la flèche dans la cabine d’une abatteuse-façonneuse chenillée 953MH de John Deere.

Articles connexes

De gauche à droite. Des débardeuses à pince 848L-II et 948L-II de John Deere avec deux chargeuses à griffe 437E travaillent ensemble sur la jetée.

L’héritage que nous laissons

Le travail d’équipe est le mot d’ordre d’une entreprise forestière florissante en Géorgie.

Une abatteuse-façonneuse chenillée 953MH munie d’une tête de transformation H415X de Waratah se met au travail.

C’est en bûchant qu’on devient bûcheron

Une entreprise d’exploitation forestière familiale dans le nord de l’Ontario produit des résultats efficaces.

Scott Decker, Vernon Decker père, Barbara Decker et Vernon Ray Decker se tiennent près d’une débardeuse à câble 748L-II.

De génération en génération

Trois générations travaillent ensemble pour bâtir une entreprise forestière très prospère.

Plus de La Jetée

Lire les derniers articles